lundi, août 30, 2010
samedi, août 28, 2010
11 courageux sportifs se sont donnés Rv pour l'assaut du Grand-Ventron vendredi 27 Août 2010 ! Il s'agissait pour le groupe, qui était guidé par les vosgiens Michel et Françoise , de s'emparer du piton à 1204 m, un merveilleux point de vue... Mais, comme la tourmente était programmée en matière de vent et de la pluie, la brume s'était installée quasiment pour la journée (comme nos KW du reste !). Bref, du village à 632 m, la Zimette (829 m), le col de la Place du Bois (1061 m), une variante au chalet des Harengs, le col des Echarges avec un passage obligé à côté de la Tête de la Vache Brûlée, a permis à l'équipe d'arriver à la Chaume du Grand-Ventron (1204 m). Sur place, tous trempés, l'accueil bienveillant du personnel, , a favorisé l'ouverture des sacs à dos pour se sustenter, suivi d'une autre dégustation, celle de la tarte aux myrtilles, laquelle a été offerte par nos animateurs du jour. Rappelons que le retour a été composé de descentes et de montées, toujours dans le même type de dénivelé égal à 672 m , parmi les feuillus et le sol bien trempé ! Un cocktail de pluie fine, de soleil et pour finir un super orage aussitôt après la dernière bouchée de gâteau avalée ! A noter également, la cueillette au fil du parcours, d'énormes cèpes, comme seul, Michel a le flair de trouver. Comme cette balade, dont il peut s'enorgueillir de nous avoir fait découvrir
dimanche, août 22, 2010
le 22 Août - C'est François qui nous accueille chez lui, dans des endroits qu'il connait bien. Il fait beau et chaud , et après un arrêt "mirabelles " dans son verger, les hostilités commencent. 17 personnes pour cette balade de 9 kms le matin et 6 l'aprés midi , essentiellement en zones boisées - Journée ponctuée par un joyeux pique nique , arrosé d' un petit blanc d'Italie bien frais , dans une ambiance amicale et avec l'incontournable partie de pétanque alentour de la baraque de chasseurs ouverte par notre hôte.
Un peu comme Sion en début de semaine, cet endroit est une bosse avec un sommet à 430 métres, et il en découle un dénivelé positif de 240 métres pour la journée- L'orage se met à gronder en fin de parcours, mais éclate finalement chez François qui nous installe à l'abri pour les dégustations habituelles dans son jardin ( voir photo de la tablée ) et nous avons beaucoup de mal à mettre un terme à cette phase sympathique de récupération, bien au chaud .
Merci encore à François et Anne Marie pour cet accueil agréable -
lundi, août 16, 2010
vendredi, août 13, 2010
un paysage magnifique chargé d'étoiles .....
dimanche, août 08, 2010
lundi, août 02, 2010
VENDREDI 30 JUILLET LE CLIMONT Nelly nous raconte son expédition :
LES AVENTURIERS DU CLIMONT
Pas de superstitieux parmi les 13 participants de la balade mensuelle du vendredi.
A 9h30, Maryvonne notre coach habituel, donne le signal du départ, et c’est d’un bon pas que l’on attaque la première et sévère côte (histoire de se mettre en jambes). Le ciel est gris, le thermomètre oscille autour des 10 degrés. Prêts à attaquer l’ascension de la « montagne » qui mène vers la Tour, une déviation due à l’abattage d’arbres, bouscule la boussole de notre coach qui, comptant bien faire, nous emmène sur un chemin qui ne menait nulle part….. Là, les ennuis commencent ! Les plus intrépides du groupe (la moitié) décident de « grimper » une butte verticale pour atteindre un hypothétique chemin. L’autre moitié, les plus prudents rebroussent chemin et prennent un sentier plus carrossable qui hélas ne les conduisait pas à la Tour. A défaut d’olifant, un appel au secours fut lancé « coucou où êtes vous ? » Un appel qui fut entendu par l’autre partie du groupe « à l’étage au dessus » C’est alors, qu’apparut dans la pente qui bordait le chemin, notre sauveur, Jean Pierre. Sur ses conseils, nous l’avons suivi, les uns derrière les autres, Monique en tête. Et là, la galère a commencé, nous avons rampé dans les myrtilles, enjambé des troncs d’arbres, escaladé des rochers, sur une distance d’au moins 500 mètres, et… sous la pluie. Les uns marchaient sur leur cape, d’autres déploraient le non respect des règles de sécurité, et c’est trempés, fourbus et….mécontents, que les naufragés de la montagne sont arrivés au sommet sous l’œil goguenards des « autres ». Pour passer le temps, Pierre avait cueilli les myrtilles pour la tarte du soir ! A peine arrivés, nous avons repris l’ascension pour arriver à la Tour et nous sustenter. La bonne humeur s’était à nouveau emparée du groupe « entier » et c’est guillerets, que nous avons attaqué la descente vers le village. Une dernière côte et pas des moindres, et nous avons regagné le col de Stège où nous avions garé les voitures.
Une belle journée qui laissera des souvenirs plus ou moins bons aux uns et aux autres, mais une journée que nous n’oublierons pas !